
Petit cours de style littéraire
aujourd'hui : le roman de
Raphaël Albert (jeune homme invisible depuis la sortie de son livre) nous a tout de suite plu grâce à sa belle couverture qui nous fait déjà entrer dans un monde mystérieux "Rue Farfadet ou les extraordinaires et fantastiques enquêtes de
Sylvo Sylvain, détective privé".
1880,
Panam, un privé genre elfe, une naine qui fait suivre son mari, une machination bien complexe et surtout une écriture riche et foisonnante comme le
Panam du roman.
Fantasy ? Sciences fiction ? Point du tout, nous voilà dans un genre littéraire un petit peu différent : le
steampunk. Petite définition qui vous permettra de pavaner dans les
apéros "bobos", ou dans les magasins
bio où vous risquez de croiser l'auteur....
C'est à l'origine un sous-genre de la
science-fiction uchronique, dont l'intitulé a été forgé par allusion au
cyberpunk par l'auteur
K.W. Jeter à titre de boutade
[1]. L'expression
steampunk, qui signifie littéralement
punk à vapeur, souvent traduite par futur à vapeur, est un terme inventé pour qualifier un genre de la littérature de
science-fiction né à la fin du
XXe siècle, dont l'action se déroule dans l'atmosphère de la société industrielle du
XIXe siècle. Le terme fait référence à l'utilisation massive des
machines à vapeur au début de la
révolution industrielle puis à
l'époque victorienne.